Paris-eyes three-week Covid-19 lockdown in bid to then ‘reopen everything, Germany tightens Covid 19
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Paris eyes three-week Covid-19 lockdown in bid to then ‘reopen everything, Germany tightens Covid controls at French border over variants
C’est ce que le préfet Jacques Billant vient d’annoncer. Cette décision a été prise à la suite de son entretien hebdomadaire avec les maires de l’île qui s’est faite par visio-conférence de 14 heures aux environs de 16 heures. Ce couvre-feu généralisé est pris pour une durée de 15 jours, de 22h à 5h. Lors de son point sur le situation sanitaire à La Réunion, le préfet a indiqué que “l’heure est au choix plus difficile et la situation, préoccupante”.
Les chiffres présentés par l’ARS sont de plus en plus inquiétants. En effet, la directrice de l’ARS, Martine Ladoucette, indique que ces 7 derniers jours, 857 nouveaux cas ont été enregistrés à La Réunion. L’île compte désormais une moyenne de 120 cas par jour et les récentes statistiques indiquent que le taux d’incidence de plus de 100 pour 100 000 habitants vient d’être franchi. C’est le taux le plus élevé jamais enregistré à La Réunion depuis le début de l’épidémie. Autrement, la situation sanitaire va de mal en pis sur l’île.
Le préfet appelle en effet les Réunionnais à “limiter les rassemblements à six personnes”, dans le cercle privé et à “respecter au maximum les gestes barrières, et limiter les moments conviviaux”. “Il faut que les choses changent”, ajoute-t-il. Ce, “en ne célébrant pas son anniversaire, son mariage, en limitant les contacts, en portant son masque”.
Martine Ladoucette a notamment évoque de la forte tension qui règne en milieu hospitalier, notamment dans les services de réanimation. Malgré tout, elle précise que l’heure n’est pas encore à la saturation dans les établissements hospitaliers.
La première responsable de l’ARS à La Réunion déclare que seule “la vaccination constitue un moyen efficace de lutte contre la Covid-19”. Elle révèle en effet qu’à La Réunion, 17 000 personnes ont déjà été vaccinées sur l’île. 5 000 d’entre elles sont des professionnels de santé, 8 500 des personnes âgées et 3 500 des personnes vulnérables.
Face à des élus ce mardi 23 février, le président Emmanuel Macron a déclaré que “compte tenu de la situation, il vaut mieux régionaliser”. Cela, par rapport notamment à lutte contre l’épidémie de Covid-19. Cette déclaration du chef de l’Etat intervient après le reconfinement local dans les Alpes-Maritimes, le week-end dernier, et avant l’annonce des possibles mesures à Dunkerque.
86 personnes en moyenne mettent fin à leurs jours chaque année à La Réunion, selon l’Association SOS Solitude qui organisera le vendredi 19 février, la journée nationale de la prévention du suicide.
Elle explique que dans le contexte anxiogène et déstabilisant de crise sanitaire, la prévention du suicide et du mal-être est devenue incontournable pour les professionnels et les familles concernées et cette prévention se doit d’être partagée. A la sortie du confinement, le nombre d’appel vers le numéro d’aide a grandement augmenté, avec une part de 40% des appels venant de Métropole.”
Pour la journée du 19 février, elle organisera donc son traditionnel colloque qui, pour la première fois se déroulera entièrement sous
format numérique. Ce colloque, ouvert au grand public, a pour thème : « Écouter, faire entendre, agir ensemble, pour une prévention du mal-être et du suicide ». La prévention partagée sera au cœur des réflexions.
En prévision de cette journée, l’association a mis en ligne, depuis le 20 janvier, des ressources vidéo, accessibles sur le site sos-sollitude.fr et sa page Youtube.
Suite aux élections municipales à l’Etang-Salé, où Jean Claude Lacouture a été élu à une voix d’écart avec Mathieu Hoarau, le candidat malheureux a déposé un recours. Celui-ci a été examiné par le juge le 9 février.
Le tribunal administratif a décidé de mettre sa décision en délibéré pour le recours de Mathieu Hoarau. Il a rendu sa décision le 17 février. Comme préconisé par le rapporteur public, le tribunal administratif a finalement rejeté le recours de Mathieu Hoarau et a confirmé l’élection de Jean-Claude Lacouture.
Mathieu Hoarau se dit “déçu”, mais il s’y “attendait” à la suite “des conclusions du rapporteur” mardi dernier. Il envisage alors d’aller jusqu’au Conseil d’Etat “pour que la justice soit mise en avant”, explique-t-il.
Le soir du second tour des élections municipales, le dépouillement avait notamment été remis en question dans l’un des bureaux car on avait compté 7 enveloppes de trop par rapport aux signatures. Alors y a-t-il eu un vice ? La situation était tendue mais le tribunal a aujourd’hui tranché.
Un mouvement de protestation devant la mairie de l’Etang-Salé
Ces jeudi 18 et vendredi 19 février, un mouvement de protestation se tient devant la mairie de l’Etang-Salé. Des habitants en colère suite à la décision du tribunal administratif se sont rassemblés pour exprimer leur mécontentement.
La situation sanitaire se dégrade encore cette semaine avec une forte augmentation du nombre de cas par jour et l’apparition de 4 nouveaux clusters. La préfecture et l’Agence Régionale de Santé ont le regret d’annoncer ce mercredi 17 février 2021, le décès d’une patiente âgée d’une soixantaine d’années et présentant de fortes comorbidités.
Au 17 février 2021, on comptabilise 661 nouveaux cas au cours des 7 derniers jours, soit du 10 au 16 février 2021 représentant une moyenne de 94 cas par jour.
Parmi les nouveaux cas : 579 cas sont investigués :
523 cas sont classés autochtones.
56 cas sont classés importés.
82 cas sont en cours d’investigation ou font l’objet d’analyses complémentaires.
Parmi les cas précédemment annoncés :
41 cas sont classés autochtones.
6 cas sont invalidés suite à des investigations complémentaires.
Du 8 février au 14 février (semaine 6), 620 cas ont été recensés en 7 jours ce qui porte le taux d’incidence hebdomadaire à 77/100 000 habitants en augmentation de 10 points par rapport à la semaine précédente.
A ce jour, on comptabilise 65 cas de variants de la Covid-19 dont 56 de souche sud-africaine, 8 britannique et 1 brésilien.
Compte tenu des 10 576 guérisons et des 48 décès depuis le début de la crise sanitaire, 938 cas sont encore actifs à ce jour. 11 463 cas ont été investigués à cette heure par l’ARS, Santé publique France et l’Assurance Maladie, dont 87 % sont des cas autochtones.
Au 17 février 2021, 24 clusters sont actifs et 114 clusters ont été clôturés.
Parmi les clusters actifs, on note :
9 clusters de « criticité modérée » se situant à Saint-Denis (1), Sainte-Marie (2), Saint-Pierre (1), Sainte-Suzanne (1), Saint-Leu (1), Saint-Paul (2) et Saint-Joseph (1).
6 clusters de « criticité élevée » se situant Saint-Louis (1), Saint- Denis (1), Sainte-Suzanne (1), Saint -Leu (1), Saint-Pierre (1) et Salazie (1).
Les principaux indicateurs confirment une progression constante de l’épidémie sur le territoire.
Il est à noter pour les autres indicateurs :
un taux d’incidence à 176/100 000 chez les 15-24 ans en forte augmentation,
un taux d’incidence à 186/100 000 chez les 25-34 ans en très forte augmentation,
un taux d’incidence à 80/100 000 chez les plus de 75 ans en très forte hausse et au-dessus du seuil d’alerte
un taux de positivité des tests à 4,1 %, en dessous du seuil de vigilance (5%),
un nombre de tests en hausse (+ 5,2 %), dont 72,8 % en rapport avec un dépistage ou un diagnostic en dehors de tout contexte de voyage
un nombre hebdomadaire d’admission en médecine et en réanimation en augmentation
une proportion de lits occupés en réanimation au titre des patients Covid de 40 %
Trois communes présentent un taux d’incidence supérieur au seuil de déclenchement de mesures de couvre-feu de 100/100 000 habitants : Sainte-Suzanne (162), Etang Salé (166) et Salazie (328), et trois communes se rapprochent du seuil : Saint-Pierre (97), Saint-Paul (89) et Sainte-Rose (93).
Compte tenu de la présence de variants à plus forte transmissibilité, il est important de renforcer les gestes barrières en se tenant à 2 mètres, de respecter scrupuleusement l’isolement durant 7 jours à l’arrivée sur le territoire et de porter les masques reconnus comme plus efficaces à savoir les masques chirurgicaux de type 2 ou grand public en tissu fabriqué selon la norme AFNOR SPEC S76-001 de catégorie 1.
Bilan des opérations de dépistage dans les communes
Afin de limiter la propagation du virus dans l’île, l’ARS La Réunion et les communes, avec le concours des laboratoires, ont organisé des campagnes de dépistage Covid-19 auprès de la population dans les quartiers.
7 février à Saint-Denis : 87 tests réalisés dont 5 positifs
9 février au Port : 80 tests réalisés dont 1 positif
10 février à Saint-Benoit : 30 tests réalisés dont 2 positifs
10 février à Sainte-Suzanne : 75 tests réalisés dont 2 positifs
Les tests menés à Salazie sont en cours d’analyse.
The French, France's President Emmanuel Macron recently lamented, have become “a nation of 66 million prosecutors”. He may have a point. Whether battling climate change or racial profiling by police, activists and ordinary citizens are pushing groundbreaking legal action to force Macron's government into action.
When France’s government hosted a roundtable on relations between the police and the public earlier this month as part of the consultations aimed at bolstering confidence in law enforcement, the panel invited to the interior ministry in Paris raised more than a few eyebrows.
There was no shortage of officials in attendance, including senior police officers and gendarmes, union representatives from both forces, four members of parliament and four mayors, and even a guest from Canada’s Royal Mounted Police.
But somehow organisers did not think to invite the public. There were no ordinary citizens, no community representatives, no activists or grassroots campaigners, and none of the academics whose investigations into the chronic problems affecting French policing have been dismissed and ignored over the years.
As George Floyd outrage spreads, France confronts its own demons
As a veteran campaigner for community outreach, Omer Mas Capitolin, a founder of the grassroots Community House for Supportive Development, would have been a useful addition to the ministry’s panel. Instead, his NGO counts among six organisations, including Amnesty International, which have launched France’s first class-action lawsuit aimed at forcing the government to tackle systemic discrimination by the police.
For Mas Capitolin, the lawsuit marks a new step in a decades-long struggle to raise awareness of racial profiling that targets France’s “visible minorities”, as non-white citizens are commonly referred to.
“I’ve been to all the rallies, spoken to countless politicians, and listened, time and time again, to their empty promises. But nothing ever changes,” he says in an interview with FRANCE 24. “The law is a pillar of our democracy and a precious tool,” he adds. “We’ve seen around the world that many great social advances result from legal action.”
‘Attack’ the state
While France famously does not compile official statistics based on religious faith, ethnicity or skin colour, racial discrimination by law enforcement – particularly in immigrant-rich city suburbs – has been widely documented.
A study conducted by France's National Centre for Scientific Research has shown that Blacks are 11.5 times more likely to be checked by police than Whites, and those of Arab origin are seven times more likely. In a landmark 2016 case, France’s highest court ruled for the first time that police had illegally stopped three men based on racial profiling, setting more specific rules to ensure checks are not discriminatory.
At the height of mass protests against racism last summer, Jacques Toubon, then France's human rights ombudsman, raised the alarm over widespread discrimination and a "crisis of public confidence in the security forces" in a report that made for grim reading. He urged a reversal of what he described as a "warring mentality" in law enforcement.
The difficulty, says lawyer Slim Ben Achour, a protagonist of the 2016 ruling and one of the lawyers involved in the current class-action lawsuit, is to get governments to act upon these injunctions and bring about “systemic change”.
Huge crowds converged on the Paris courthouse on June 2, 2020, calling for an end to police violence and impunity.
Huge crowds converged on the Paris courthouse on June 2, 2020, calling for an end to police violence and impunity. © Gonzalo Fuentes, Reuters
Using a law introduced in 2016 by the former justice minister, Christiane Taubira, Ben Achour and his colleagues have served the government with formal legal notice of demands for concrete steps to end racial profiling by police. The law gives French authorities four months to talk with the plaintiffs about how they can meet the demands. If the plaintiffs are left unsatisfied, the case will go to court.
https://www.getrevue.co/profile/slime-s1-e1-full-engsub
https://www.getrevue.co/profile/game-s1-e1-full-series
https://www.getrevue.co/profile/slime-s2-e9-full-online
https://note.com/nxbzktesf/n/n0eb758a5500b
https://www.thewyco.com/news/france-paris-eyes-three-week-covid-19-lockdown-in-bid-to-then-reopen-everything-germany-tightens-covid-09-03-2021
https://steemit.com/news/@bbswordiwc/france-paris-eyes-three-week-covid-19-lockdown-in-bid-to-then-reopen-everything-germany-tightens-covid
https://muhamahjalaludi076.medium.com/france-paris-eyes-three-week-covid-19-lockdown-in-bid-to-then-reopen-everything-germany-tightens-bb41c5daa347
https://steemit.com/news/@defenceds/france-paris-eyes-three-week-covid-19-lockdown-in-bid-to-then-reopen-everything-germany-tightens-covid-19
https://muhamahjalaludi076.medium.com/france-paris-eyes-three-week-covid-19-lockdown-in-bid-to-then-reopen-everything-germany-tightens-4e9e6c3cd9b6