France 24 South Korea finds creative ways to fight Covid-19
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Des dizaines d'écoliers ont été kidnappés samedi soir par des hommes armés dans le nord-ouest du Nigeria avant d'être libérés dimanche matin grâce à l'intervention armée d'un groupe d'auto-défense, a annoncé à l'AFP un porte-parole de la police locale, Gambo Isah.
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Des dizaines d'écoliers ont été kidnappés samedi soir par des hommes armés dans le nord-ouest du Nigeria avant d'être libérés, dimanche 20 décembre au matin, grâce à l'intervention armée d'un groupe d'auto-défense. Ce fait survient 48 heures après la libération de 344 adolescents, dont l'enlèvement avait été revendiqué par le groupe terroriste Boko Haram.
Samedi soir, "80 écoliers qui rentraient dans leur village de Mahuta, dans l'État de Katsina […] ont été enlevés par des bandits qui avaient déjà kidnappé quatre personnes et volé 12 vaches", a déclaré le porte-parole, précisant que les "84 personnes enlevées ont été récupérées" dimanche matin.
Selon des sources locales, le nombre de ces écoliers s'élève à 113.
"Nous avons envahi leur zone, nous savions qu'ils détenaient les enfants"
Les enfants ont été enlevés samedi soir près du village de Baure alors qu'ils revenaient avec leurs professeurs d'une cérémonie religieuse dans un village voisin, a déclaré à l'AFP le responsable d'une milice d'auto-défense, Abdullahi Sada.
Lorsque la nouvelle est parvenue à Mahuta, la ville dont sont originaires les enfants, les habitants et les miliciens du groupe d'autodéfense se sont mobilisés et sont alors partis à la recherche des kidnappeurs, rapidement identifiés comme des membres de la communauté des éleveurs peuls, a-t-il ajouté.
"Nous avons envahi leur zone, nous savions qu'ils détenaient les enfants et avons également pris en otage certains membres de leur communauté, avertissant que si quelque chose arrivait à nos enfants, aucun Peul ne vivrait désormais ici", a ajouté Abdullahi Sada.
Enquête ouverte pour "arrêter les bandits"
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L' opération a permis de "déloger les bandits et de sauver les 84 victimes kidnappées", a précisé le porte-parole de la police, ajoutant que celle-ci se poursuivait en vue "d'arrêter les bandits" et qu'une "enquête a[vait] été ouverte"
Des bandes armées, appelés "bandits", parfois fortes de plusieurs centaines de membres sèment la terreur depuis plusieurs années dans les zones rurales du centre et du nord-ouest du Nigeria, pratiquant à grande échelle le vol de bétail et les enlèvements contre rançon.
Les habitants ont mis sur pied des groupes d'autodéfense pour se protéger sans parvenir à mettre un terme aux violences, qui ont causé la mort de quelque 8 000 personnes depuis 2011.
Ce nouveau rapt d'écoliers a eu lieu 48 heures après la libération de 344 enfants et adolescents, enlevés dans leur pensionnat le 11 décembre par des criminels opérant pour le compte du groupe jihadiste Boko Haram dans la même région du Nigeria.
Les handballeuses norvégiennes ont remporté dimanche le championnat d'Europe en battant l'équipe de France 22 à 20, au terme d'une finale marquée par une magistrale remontéetricolore.
Les handballeuses françaises sont passées à un doigt de conserver leur couronne européenne. Mais au terme d'un match disputé, ce sont les Norvégiennes qui ont décroché le trophée de championnes d'Europe en battant la formation tricolore 22 à 20, dimanche 20 décembre, à Herning au Danemark.
Une symphonie inachevée pour les Bleues, mais qui permet de regarder avec envie vers les Jeux olympiques de Tokyo. Finalement, ce sont des larmes de tristesse qui ont coulé sur les joues des Françaises, à commencer par celles de Cléopatre Darleux, élue meilleure joueuse de la finale et qui est allée chercher sa récompense à la fin de la rencontre les yeux rougis, maigre consolation pour la portière brestoise impériale pendant la seconde période.
De même, Estelle Nze Minko est allée chercher sa récompense de meilleure joueuse du tournoi, mais l'arrière gauche de Györ est passée à côté de sa finale.
Il n'aura pas manqué grand-chose aux coéquipières de Siraba Dembélé pour conserver leur couronne européenne conquise il y a deux ans à Paris-Bercy: une possession de balle mal gérée en infériorité numérique à deux minutes de la fin, alors qu'il n'y avait qu'un but de retard (21-20), une erreur de changement qui a coûté une exclusion de deux minutes à Grâce Zaadi, synonyme de carton rouge, dans le money time.
Pendant soixante minutes, les Françaises ont proposé un récital en défense, mais ont raté la cible en attaque, se heurtant aux parades de la gardienne Silje Solberg infranchissable en première période avec neuf arrêts sur dix-neuf tentatives françaises.
Les parades d'Amandine Leynaud durant le premier acte ont permis aux Françaises de rester au contact des Norvégiennes impressionnantes, avec seulement quatre buts de retard pour les trente dernières minutes (14-10).
Cinquième podium en six compétitions
Au retour des vestiaires les Françaises sont progressivement revenues au score, d'abord grâce aux parades de Darleux (8 sur 14 tentatives), puis sous l'impulsion de sa jeune garde, notamment la pivot Pauletta Foppa (cinq buts, meilleure marqueuse française) et l'arrière gauche Kalidiatou Niakaté (trois buts).
Sur un jet de sept mètres de Grâce Zaadi, à moins de sept minutes de la fin, elles ont même pris les commandes (19-18), mais n'ont pas réussi à conserver cet avantage.
Le sélectionneur Olivier Krumbholz a tenté quelques surprises pour piéger l'adversaire, comme aligner les deux pivots Pauletta Foppa et Béatrice Edwige en défense, ou jouer à sept en attaque en sortant Amandine Leynaud en première période, puis Cléopatre Darleux en seconde période, le temps des phases offensives.
Les coéquipières de Siraba Dembélé montent pour la cinquième fois en six grandes compétitions sur un podium, mais ce n'est pas sur la plus haute marche comme au Mondial-2017 ou à l'Euro-2018.
Dans la Boxen Arena de Herning sans spectateurs en raison des restrictions liées à la pandémie de Covid-19, elles ont dû se contenter de la deuxième place comme aux Jeux olympiques de Rio en 2016.
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Cette médaille d'argent, fruit d'une compétition maîtrisée jusqu'à la finale incluse, met définitivement derrière elles l'élimination dès le premier tour au Mondial-2019 au Japon à Kumamoto, et confirme que les Bleues sont bel et bien de retour au premier plan.
La dernière marche, face à une équipe norvégienne enfin au complet avec son armada de stars -Stine Oftedal, Nora Mork, Henny Reistad- et extrêmement solide, était trop haute pour une équipe de France plus jeune et manquant encore un peu d'expérience.
For the third straight day, South Korea has reported more than 1,000 new Covid-19 cases. Although the country is facing a third wave of the coronavirus, cases and deaths remain relatively low compared to other parts of the world. In addition to face masks and social distancing, South Korea has used patrols, robots and makeshift ICUs to stop the spread of the virus. But critics say the strategy has curtailed personal freedoms. Our correspondents report.
The Hong Kong government's decision to use a colonial-era emergency law to ban face masks at protests last year was both proportionate and legal, the city's top court ruled Monday.
The ruling is a blow for democracy supporters who had been hoping the Court of Final Appeal would side with a lower court and overturn the order.
It also confirms that Hong Kong's chief executive -- a pro-Beijing appointee -- has the power to enact any law in a time of public emergency without needing the approval of the city's partially-elected legislature.
Hong Kong was convulsed by seven straight months of huge and often violent pro-democracy protests last year.
They were eventually quashed by mass arrests, a coronavirus ban on public gatherings and Beijing imposing a new national security law on the city in June.
Face masks became ubiquitous as a way to reduce the risk of identification and prosecution for those taking part in peaceful marches, or violent clashes with police.
In October last year chief executive Carrie Lam banned anyone covering their face at public rallies using the Emergency Regulation Ordinance, a British colonial law from 1922.
Opposition lawmakers challenged both the use of that emergency law and the ban on wearing masks at permitted rallies.
They argued the move breached Hong Kong's "Basic Law" -- the city's mini-constitution.
A lower court had agreed with those bringing the challenge and expressed concerns about the emergency law and the proportionality of the face mask ban.
But on Monday, a panel of top judges unanimously backed the government.
"The ambit of the power to make subsidiary legislation under the ERO in a situation of emergency or in circumstances of public danger, although wide and flexible, was not unconstitutional," the judges ruled.
Banning face masks at both illegal and legal rallies was proportionate because it was aimed at "the prevention and deterrence of violence before a peaceful public gathering had deteriorated into violence."
In a somewhat ironic twist, Hong Kong's government has made the wearing of face masks in public compulsory for much of the year to combat the coronavirus pandemic.