La Nintendo Switch hacké pour de bon ?

in #fr7 years ago (edited)

Nouvelle sensationnel de l'été 2017 auprès des sites spécialisé en informatique et technologies en tous genres, la dernière née de Nintendo aurait fais les frais d'un hacking réalisé par la non moins célèbre team Fail0verFlow. La presse dans un élan d'enthousiasme et d'opportunité non dissimulé, dans le seul but de générer des clicks en provenance d'internautes particulièrement crédules, c'est avancé dans une longue logorrhée qui laisserait entrevoir la possibilité de lancer des images iso non-signé, de jeux disponibles dans le commerce. En vérité il n'en est rien. Bien que des photos, prouvant la véracité des propos de l'équipe qui a réalisé cet exploit, circulent dans les articles en question, le hack concernant l'intrusion dans le kernel de la console n'en était qu'à un stade peu avancé.

Petit historique des choses

Evidemment, on pouvait alors se réjouir d'une telle annonce, laissant entrevoir des possibilités de développement d'outils et de logiciels, à l'intention de la machine et ce au profit de la scène homebrew. Cependant, il faut analyser la méthode utilisé afin de déterminer si l'on peut se prononcer sur le hack en question. A ce sujet, nous avons déjà un élément de réponse : la question du firmware. Selon les déclarations de Fail0verflow, le firmware 3.0.0 serait plus que recommandé pour profiter de cette intrusion. La brèche étant colmaté depuis la récente apparition du firmware 3.0.1, se pose alors la question de l'utilisation d'un logiciel aujourd'hui dépassé. La réponse est assez simple : Il s'agissait la d'un by-pass intentionnel, provenant de Nvidia, dans l'unique intention d'accéder au cœur de la puce Tegra x1. Cet action était une commande de la firme de Kyoto afin d'insérer du code sans passer par la voie "officiel" . C'est ainsi qu'un émulateur NES a été inséré au sein même du microcode de la puce en question. Depuis, le patch a renversé ce principe et retirant, par la même occasion, ce soucis de vulnérabilité "provoqué" par le constructeur...

Une simple question de détermination

Ce n'est sans compté sur la détermination des bidouilleurs, programmeurs et autres hackers qui se sont lancé dans une course effréné, à la recherche de n'importe quelle porte dérobée... Le 6 février dernier, Fail0verflow annonce une nouvelle sans précédent : Le hack est de nouveau opérationnel et utiliserait la boot Rom du fameux Tegra X1 ! En clair, la boot ROM, ou mémoire de démarrage, est une suite d’instructions non-modifiable inscrite directement dans la puce. Ce qui implique que le hardware de la console dispose de cette vulnérabilité, sans possibilité de la modifier, si ce n'est revoir produire une révision de l'ensemble ! Sur ces entrefaits, Xecuter, groupe spécialisé dans l'exploitation et la production de puces "pirate", promet un nouveau produit à la vente, capable de lancer n'importe quel code non-propriétaire sur la Switch. Décidément, Nvidia et Nintendo ont du soucis à se faire à la vu des premières images du launcher en question !

La switch sera t'elle le nouveau terrain de jeu de développeurs farfelus ? Seul l'avenir nous le dira. Toutefois, on peut constater que cela reste un coup dur financier pour les deux fabricants !

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good news post....upvoted and followed

this is a psp game

Mmmm
Great news
But i do not have much time to play game now

Dear
Let me to resteem yor post

Méga chouette, j'ai hate de voir débarquer une Debian dessus, ça me poussera certainement à en acheter une ^^

Le piratage freine le développement de jeux sur une console , pour moi c est pas une bonne nouvelle .

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